Parmi les personnes qui viennent à nous en s’interrogeant sur ce qu’elles veulent faire demain matin, dans deux ans, une grosse partie - près d’un tiers - se demande « comment mettre leurs rêves en dynamique ». Voilà notre réponse.
Il y a deux voies possibles, l’une interne, l’autre externe.
Dans les deux cas on commence par l’écriture spontanée d’au moins une vingtaine de rêves et du sens que l’on porte (le fil directeur des rêves), sur une page avec des formulations positives.
Vous pouvez penser que c’est beaucoup ! Mais en fait, il s’agit de laisser aller la pensée, les envies, l’écriture, quitte à ce que les rêves interfèrent ou se répètent.
C’est l’apprentissage de la spontanéité et de ses résultats qui sont importants.
Pour initier ce travail, il est recommandé de se mettre dans la nature ou alors d’avoir rencontré des rêveurs (mais pas trop cependant car cela risque de conditionner l’esprit).
La voie interne consiste à confronter naturellement ses rêves avec la réalité d’une part et avec ses émotions et celles des autres d’autre part.
L’offre de Shynleï permet en trois mois de développer son aptitude à identifier ses envies, à rêver et de commencer à croire dans ses rêves. Après ces trois mois, on vit son aventure en confrontant cette réflexion personnelle initiale à ses propres émotions et à celles des autres et au constat régulier de ce qui se clarifie. Dans l’instant de cette confrontation, les émotions et les faits doivent prendre le pas sur les rêves.
La voie externe passe par l’abandon de toute réflexion organisée et se nourrit par les échanges avec le monde extérieur.
Les deux clefs de réussite de cette voie sont :
- Le mémoire de ce que l’on a écrit, à savoir la relecture tous les trois mois des rêves et du sens, en développant ce à quoi on prend plaisir et en laissant tomber ce qui n’avance pas,
- Le choix des personnes que l’on rencontre : des personnes qui font attention à vous et vous questionnent sur le plaisir que vous prenez à parler de vos rêves.
On aurait envie de mélanger les deux voies et cela devient possible au bout de 9 mois quand «l’enfant rêveur » a grandi et peut se nourrir de tout, intérieur ou extérieur.
Le faire avant risque de perturber l’entrée dans chacune des voies.
Dans les deux cas, l’élément clef du succès est le regard régulier et toujours plus lucide sur ses rêves et leur maturité. Cette pratique est grandement facilitée par l’utilisation d’outils qui permettent de garder une trace structurée et facilitent les mises en perspective.
Vous pouvez commencer dès maintenant à écrire vos rêves sur une jolie feuille de papier blanche. Vous pouvez aussi participer à notre webinaire « Comment mettre ses rêves en dynamique » qu’Elisabeth vous propose le 14 décembre à 12h30.