Quand vous commencez votre Shynleï on vous demande vos rêves, on vous demande simplement de penser à vous en exprimant ce que vous portez et c’est là que commence l’aventure « pour la vie ».
On ne se rend pas compte tout de suite que l‘on a quelque chose à dire, que l’on a le droit d’avoir ses propres idées ou ses propres rêves et quand on vit sa vie de tous les jours, on est vite rattrapé par des conditionnements ou par les envies des autres.
Il faut tenir bon jusqu’à ce que l’on découvre le plaisir de rêver ou simplement de s’autoriser à rêver. Ce sont les premiers mois du Shynleï avec leurs premières rencontres qui nous ouvrent un peu plus à cette idée de penser à soi mais aussi de grandir avec les autres.
On voit alors de mieux en mieux les richesses que l’on porte. On se rend compte qu’il est plus intéressant d’écrire son livre de vie que de lire celui des autres.
Aimer écrire ?
Ça y est, le mot est lâché : écrire. Écrire pour nourrir les rêves. Écrire pour relier rêves et réalité. C’est ce que nous appelons : nourrir le qualitatif, c’est-à-dire installer ses repères.
L’outil Shynleï facilite la constitution de cette mémoire écrite jusqu’au jour où l’envie arrive de transmettre le sens que l’on porte, de prendre du plaisir à cette expérience d’écrire.
La mémoire est également nourrie par toutes les rencontres que l’on fait. C’est une trace de notre âme qu’il faut entretenir soigneusement comme son corps.
L’aventure ne fait que commencer pour découvrir ce que les premiers rêves ont révélé et qui nous éclaire encore parfois 10 ans après.
C’est une aventure individuelle et collective guidée par la confiance dans ses propres choix, le plaisir grandissant d’agir et de sentir que notre environnement joue aussi le jeu.
Et si on parlait d’amour…
Cette aventure est une introduction à l’amour infini entre humains et avec la nature.
Mais restons entre humains pour cette première étape qui commence quand on commence à s’aimer soi : une phrase plus poétique que penser à soi.
Franchissons le pas. Utilisons ce mot dans la vie de tous les jours et notamment dans l’entreprise qui est faite d’êtres humains. C’est le moyen d’entreprendre « avec âme » et d’éviter la vie de robot qui nous guette si nous perdons notre humanité.
Shynleï est une démarche pour la vie en tant que quête de cet amour, en tant qu’invitation à créer un pont vers l’invisible de nos émotions, à l’emprunter et à laisser faire la vie.
C’est la recherche de l’énergie de vie des êtres que nous sommes, des animaux que nous sommes, au-delà de ce qui nous a conditionné et nous conditionne tous les jours.